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Soulagement de symptômes postcovidiens, gravissimes, grâce à une cure de jeûne


Steffanie Hornstein - 14/03/2022 - 0 comments

Et si le retour à la qualité de vie passait par le jeûne.

Comment une cure de jeûne a permis de soulager les symptômes postcovidiens, gravissimes, développés par Hannelore Tiedkes

Asthénie, difficultés respiratoires, maux de tête quotidiens et inflammation du nerf auditif : voilà quelques-uns des violents symptômes postcovidiens, dont Hannelore Tiedke (70 ans) a souffert pendant plus d’un an, tout en l’obligeant chaque jour à relever de nouveaux défis. Et c’est à cœur ouvert qu’elle nous raconte, ici, comment le Covid long a miné sa qualité de vie, et pourquoi elle s’est décidée, au printemps 2021, à faire un séjour chez Buchinger Wilhelmi.

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Excellentes expériences du jeûne chez Buchinger Wilhelmi

Avant son départ à la retraite, Hannelore Tiedke, proviseure d’un grand centre scolaire et principale de collège, était responsable de quelque 2 600 élèves et de l’ensemble du personnel enseignant. Les missions associées à ces postes de direction, particulièrement exigeantes, impliquaient un quotidien professionnel souvent fort stressant. Sa première visite chez Buchinger Wilhelmi eut lieu en 2011, juste après un accident ischémique transitoire.

« Il m’a fallu attendre 2011 pour saisir ce que signifiait pouvoir se délester d’une activité professionnelle éreintante comme de l’épuisement professionnel et privé, dans un environnement si bienveillant… en jeûnant et grâce à l’accompagnement spécialisé de médecins, d’infirmières ou de thérapeutes », se souvient Hannelore Tiedke. Littéralement transportée par les bienfaits de sa première cure, elle décida d’en faire une deuxième en 2012.

Quand les symptômes persistent après une infection à la Covid-19

Après avoir contracté le virus en mars 2020, Hannelore Tiedke souffrit de courbatures, de céphalées, de fièvre et de maux de gorge, pendant un mois entier, et perdit même le goût et l’odorat. Une fois rétablie, elle vit, certes, revenir son goût lentement et progressivement, mais n’arrivait à récupérer son odorat que par à-coups, et encore… Voici comment Hannelore Tiedke décrit le ressenti de quelqu’un qui ne peut plus se fier à ce sens vital : « Mon odorat revenait par bribes, plusieurs fois par semaine, puis s’enfuyait à nouveau au bout de quelques minutes, voire d’une heure ou deux. J’avais un mal fou à associer les odeurs avec précision, un peu comme si mon cerveau n’avait pas ou plus d’informations là-dessus. »

Hannelore Tiedke
Mon odorat revenait par bribes, plusieurs fois par semaine, puis s’enfuyait à nouveau au bout de quelques minutes, voire d’une heure ou deux. J’avais un mal fou à associer les odeurs avec précision, un peu comme si mon cerveau n’avait pas ou plus d’informations là-dessus.

— Hannelore Tiedke

Hôte chez Buchinger Wilhelmi

Au demeurant, ce ne sont pas ces seules séquelles qui ont permis à Hannelore Tiedke de s’apercevoir qu’elle développait un Covid long. Bien que les symptômes de l’infection aient disparu depuis longtemps, elle avait perdu tout ressort et se sentait constamment épuisée. Au moindre effort physique, comme monter une côte ou des escaliers, elle ressentait de violents picotements sous le crâne ; à cela vint s’ajouter un essoufflement, doublé de légers vertiges.

En septembre, son état de santé empira encore. L’intensité des vertiges, accompagnés de nausées et de vomissements, nécessita même une hospitalisation. Diagnostic : inflammation potentielle du nerf auditif, possiblement liée à la Covid-19.

Jusqu’à fin octobre, Hannelore Tiedke souffrait toujours, le soir, de fièvre, d’une raideur de la nuque et de violents maux de tête. Si une partie des symptômes finit par disparaître, l’intense fatigue et les maux de tête chroniques, eux, persistaient. Se souvenant de l’effet positif de ses précédents séjours chez Buchinger Wilhelmi sur son état de santé, Hannelore Tiedke décida de suivre à nouveau une cure de jeûne de trois semaines, au lac de Constance.

Amélioration durable des symptômes postcovidiens grâce au jeûne

Pendant son séjour chez Buchinger Wilhelmi, Hannelore Tiedke jeûna en tout 19 jours. Elle fit beaucoup d’exercice, nagea régulièrement et suivit d’autres traitements, comme des perfusions de vitamine B, de sélénium ou d’acide folique. Son énergie revint peu à peu et les symptômes s’atténuèrent.

Aujourd’hui, soit plusieurs mois après son séjour à la clinique de jeûne, Hannelore Tiedke a enfin retrouvé la force de faire face à son quotidien et d’en reprendre le contrôle. Essoufflement et fatigue chronique ont disparu ; les promenades jusqu’à 10 kilomètres ne lui posent plus problème. Même les céphalées nocturnes, la raideur de la nuque et la fièvre, qui ruinaient ses soirées, ne sont plus que de mauvais souvenirs.

Pathologie encore inexplorée : le Covid long

Les premières études sur le jeûne fournissent des indications sur une possible amélioration des symptômes.

Bien que l’impact positif du jeûne sur l’évolution du Covid long n’aie pas encore été étudié concrètement, les résultats d’études sur le jeûne, déjà publiés, nous livrent un certain nombre d’éléments pouvant permettre d’expliquer l’amélioration des symptômes. La directrice scientifique des cliniques Buchinger Wilhelmi, la Dre Françoise Wilhelmi de Toledo, les résume dans la vidéo suivante. Experte en jeûne depuis près de quatre décennies et ancienne médecin-cheffe de la maison, la Dre Eva Lischka y décrit également quatre autres cas d’anciennes patientes et d’anciens patients présentant des symptômes postcovidiens.

Vidéo

Regain de force et de dynamisme après le jeûne

« Je me sens, désormais, plus forte, plus vivante, plus dynamique, mais aussi, plus calme et plus sereine, que tout au long de l’année 2020. J’ai eu le loisir de participer aux vendanges et à un grand tour de ville, mais aussi de poursuivre mon entrainement de natation hebdomadaire, et in fine, de retrouver la joie de vivre », confia Hannelore Tiedke à son médecin traitant, la Dre Eva Lischka.

Même son odorat s’est aiguisé : 15 mois après son infection, elle pu à nouveau sentir l’odeur d’un citron, chez Buchinger Wilhelmi. Première encourageante, même si ses nerfs olfactifs de sont pas encore totalement régénérés. S’il lui arrive par moment de distinguer différentes odeurs et de réussir à en nommer certaines, elle en sent d’autres, mais sans vraiment parvenir à les identifier. « J’ai oublié ce que c’est ou ne sais plus l’exprimer », analyse-t-elle, sans toutefois se départir de son assurance : « Je viens de si loin et me suis tant battue pour reprendre ma vie en main, pas question maintenant de baisser les bras. Si près du but, vous pensez ! Non, vraiment, je reste optimiste quant à mon retour complet à la normalité. »

Hannelore Tiedke
Je me sens, désormais, plus forte, plus vivante, plus dynamique, mais aussi, plus calme et plus sereine que tout au long de l’année 2020. J’ai eu le loisir de participer aux vendanges et à un grand tour de ville, mais aussi de poursuivre mon entrainement de natation hebdomadaire, et in fine, de retrouver la joie de vivre.

— Hannelore Tiedke

De la part de nous tous, bonne chance et bonne santé, chère Madame Tiedke !

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